Une parka qui a de l'allure
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Maison Dupuy de Lôme ®: Architecte du vêtement

Le vêtement, tout un voyage !

Le vêtement est le prolongement de la personnalité. Mieux qu’une thérapie, il donne confiance en soi. L’habit ne fait pas le moine, ça dépend. L’habit, c’est nous. L’habit, plus qu’une pièce de tissu, est une 2ème enveloppe.

Le vêtement est le prolongement de la personnalité. Les italiens l’apprennent dès le berceau. Les français, non.

On nous apprend dès notre plus jeune âge ce qu’est le bon goût : surtout pas plus de 3 couleurs. 2 couleurs suffisent. 

D’où vient la créativité des designers de la capitale de la Mode alors, si l’on ne prend aucun risque et si «3 couleurs » frise le crime de lèse-majesté ?

Ne risque-t-on pas plutôt de nous enfermer dans des croyances obtuses, comme des chaussures trop petites qui nous empêcheraient de nous exprimer ?

Le vêtement n’est ce pas aussi tout un art d’architecture et de révélateur de personnalité ?

Qu’est-ce que le style ?

D’où vient le style. Comment crée-t-on quand on est issu d’une culture qui contrôle nos dérapages et autres sorties de foule en matière de prise de risque de style et d’inspiration ?

Les anglais prennent moins de gants.

Eux, misent sur le festival de couleurs et de motifs le week-end après une semaine entière partagée entre les uniformes scolaires ou boulot de la semaine.

Il n’y a pas qu’eux qui sont sous l’emprise de l’uniforme, tous les pays du Common Wealth. Mais aussi, le Japon, source d’inspiration bien-être « exotique » et notoire. La Chine aussi, avec ses multiples carcans. Et la Corée du Sud, avec en contrepartie, ses extravagances dignes d’un docu-fiction.

Les Etats-Unis, pas franchement. Et d’ailleurs, ils ne brillent pas par leur « bon goût » encore. Du moins ce n’est pas encore flagrant 😉

Parka Australienne, Maison Dupuy de Lôme

Savoir-faire d’HIER et d’AUJOURD’HUI

En France, on a relégué les uniformes à la déchetterie depuis les années 50.

Par contre, on a la culture du déguisement, le beau déguisement. Les bals costumés, c’est nous. L’opéra, la Comédie Française, c’est nous aussi.

D’ailleurs, chez MAISON DUPUY DE LÔME ®, nous travaillons en collaboration avec La COMÉDIE FRANÇAISE régulièrement. Le savoir-faire des 2 artisans-couturiers de notre atelier interne est apprécié de nos commanditaires. Nous avons travaillé sur plusieurs de leurs spectacles en 2018 et 2019, dont l’un est parti en tournée à New-York en mai 2018.

Le CINEMA FRANÇAIS nous a rejoint aussi. Qui apprécie aussi notre savoir-faire, notre rapidité et notre collaboration. On nous confie la réalisation des prototypes qui seront ensuite proposés aux réalisateurs de film.

Quel privilège pour nous, de nous plonger dans ce voyage à remonter le temps à chaque fois ! Redécouvrir une culotte à pont du 18ème, sans pont du 19ème, des vestes, des gilets et des chemises à grands cols larges étranges du 18ème pour Gustave Eiffel, et d’autres films pas encore portés sur grand écran.

Des jodhpurs, des chinos, des chemises, des costumes et des capes à capuche pour Electre Oreste, Les Damnés, Galilée, L’Eveil du Printemps.

Ces grands noms sont Français. Ils nourrissent l’histoire et inventent l’avenir. L’inspiration est une valeur sûre.

Bien sûr que l’habit fait le moine

Encore faut-il prendre le risque de bien connaître sa personnalité.

Il faut jouer, s’essayer, devant un miroir entier en se cachant le visage dans un premier temps, parce que le pire juge, c’est nous-même ! 

Ainsi donc, on juge une silhouette, ou ce qu’il en ressort et qui pourrait appartenir à quelqu’un d’autre. Ce qui nous rend plus clément et plus heureux pour le bonheur. Notre reflet s’en trouve encouragé et non plus condamné.

La confiance en soi s’acquiert petit-à-petit.

Le vêtement, c’est nous. Notre carte de visite, et notre plaisir. Jamais vu encore de gens nus se balader dans les rues. Quoique, un décret de 2015 interdit dorénavant aux gens de se promener nus dans les rues de San Francisco… Comme quoi.

Un vêtement, c’est un voyage. Une culture, un plaisir, une 2èmepeau, un rôle du meilleur de nous-même, un jeu.

Le vêtement est le prolongement de notre personnalité.

Magali Roussel, Créatrice de MAISON DUPUY DE LÔME

Le miroir de nos projections,

notre terrain de jeu,

notre construction !

Capital confiance ou illusion du paraître ?

Quand on observe quelqu’un pour la 1ère fois, on estime automatiquement sa taille et son aspect extérieur. Pourquoi et comment ?

Pourquoi ? Parce qu’on a besoin de s’approprier l’autre.

Comment ? Nos yeux suivent un parcours automatique qui nous renseigne.

L’œil observe tout d’abord la tête assez furtivement, s’arrête aux épaules, descend jusqu’au sol, puis remonte en panoramique du bassin à la ligne de poitrine. 

Plus les côtés seront droits, et plus l’œil glissera vite vers le haut.

A hauteurs égales entre 2 personnes, celui ou celle qui aura les épaules les plus basses paraîtra plus petit que l’autre. Des épaules droites donneront l’illusion que la personne est un roc de confiance. Des épaules larges d’homme, s’il est grand, protecteur, s’il est petit, costaud. Des épaules plus larges chez une femme élancée naturellement, l’ancreront plus dans un capital confiance.

De même, comme le trait de crayon noir presqu’invisible souligne le regard ouvert et réveillé d’une femme (ou d’un homme), le pantalon souligne le haut du corps.

Par ailleurs, une personne qui s’aime paraîtra toujours parfaitement belle aux yeux des autres, quelque soit son apparence et ses défauts physiques qui deviennent alors très subjectifs.

D’où l’importance de:

·     la carrure d’épaule, 

·     la taille,

·     du pantalon !

·      l’estime de soi

En tant qu’architecte du vêtement, la base de mon travail est d’étudier le corps humain et de le valoriser pour mieux le souligner, gommer les défauts biologiques et donner ainsi l’illusion de paraître plus grand, plus mince, avec plus d’allure.

Nos blazers ont des épaulettes de 1,5 cm, et les épaules des hommes sont courtes, celles des femmes plus courtes que celles des hommes, mais plus larges que la longueur exacte de leurs épaules.

Les blazers ne sont pas cintrés, ils sont ajustés.

En tant qu’architecte du vêtement, je travaille à la fois sur le style, l’allure et le corps. Je suis partie non pas de la ligne de taille, mais de la ligne de poitrine, sous les aisselles.

C’est là que j’ai creusé pour dégager le haut et créer l’illusion d’une taille mince naturelle. Il y a un petit secret maison en plus, mais comme c’est secret et que personne ne l’utilise, chhuuut. L’élaboration de ce secret m’a demandé 2 ans de travail.

Les vestes sont courtes pour dégager les jambes et ne pas alourdir le haut du corps vers le sol.

Les pantalons : tout est permis. Les pantalons sont comme les robes des femmes, on peut tout faire et tout se permettre. L’idéal est de créer un contraste appuyé donner de l’allure à une silhouette complète, ou invisible pour ne mettre en valeur que la carrure.

Faîtes confiance à MAISON DUPUY DE LÔME®

Allez à votre propre rencontre

Augmentez votre capital confiance

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